Jules-Henri Lengrand-Liliane-Marco

Petit Journal du Musée des Beaux-Arts Jules Chéret, NICE
Rédactrice : Anne Devroye-Stilz 

Curieusement, chaque sujet est devenu un prétexte pour traiter la lumière ou plutôt la dynamique de la lumière. Tout se passe comme si, à travers la figuration, le peintre détrônait le sujet pour en révéler sa part d'invisibilité. Anne Devroye-Stilz. 
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On peut affirmer que ce feu sacré  animera le maître tout au long de son œuvre et de sa carrière depuis la remarquable composition (digne de son contemporain Albert Decaris) qui fait obtenir à Jules-Henri Lengrand à 23 ans en 1930 le Premier grand Prix de Rome de gravure en taille-douce: Orphée, œuvre qui donne le titre au volume. Olivier Vernier. 
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A mi-chemin entre l’abstraction et la figuration le peintre se risque à livrer l'image sensible du récit de l'Univers. Tel un compositeur, il entame cette symphonie par un "prologue" et dévoile un "avant Big Bang" : face à l'invisible, la matière se cache et s'ébranle au cœur d'une opacité régnante. Le peintre suit les étapes de la Création et les titres nous guident vers l'interprétation du visible. Anne Devroye-Stilz.
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Extraits de l'allocution prononcée par J-H Lengrand à Valenciennes au Banquet de l'Association des Anciens Élèves des Académies et du Conservatoire le 30 septembre 1967.

"L'œuvre d'art n'a de sens que par son contenu humain"

"Dans un monde où l'art est trop souvent soumis aux impératifs de la matière, il serait souhaitable que nous puissions redonner à la forme sa puissance de suggestion et son contenu de pensée".

"Si rien ne se fait sans foi et sans enthousiasme, rien ne peut se faire".